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Le prince Harry et Meghan Markle ont donné une interview à la star de télévision américaine Oprah Winfrey. Il sera diffusé vendredi 5 mars sur la chaîne CBS.
L’interview d’Oprah Winfrey et du duc et de la duchesse de Sussex sera diffusé le 5 mars sur CBS.
Crédit : Harpo Productions/Joe Pugliese/PA
Le duc et la duchesse de Sussex ont donné une interview de 2 heures à l’animatrice américaine Oprah Winfrey. Très attendu, l’entretien sera diffusé vendredi 5 mars sur la chaîne CBS. Un échange qui s’annonce explosif.
Dans un nouvel extrait, Meghan Markle a évoqué le caractère "libérateur" de l'interview qu'elle a accordée avec son mari, le prince Harry. L'Américaine de 39 ans doit revenir sur la manière dont elle a été traitée par la famille royale et la presse britannique. Dans le court extrait, Oprah Winfrey raconte avoir demandé un entretien à Meghan Markle avant même son mariage avec Harry en 2018, mais que l'ex-actrice de la série "Suits" avait alors "gentiment décliné". "Je n'aurais pas pu vous dire oui à cette époque. Le choix ne me revenait pas", a ajouté l'Américaine, qui attend son deuxième enfant et vit désormais en Californie avec son époux, 36 ans, et leur fils Archie. Mais aujourd'hui, après la rupture choc entre le couple et la famille royale britannique, "il nous est possible de faire nos propres choix", a-t-elle poursuivi.
La crise publique entre le couple et la famille royale est sans équivalent depuis l'époque de Lady Di, mère d'Harry, qui s'était elle-même épanchée dans une interview choc en 1995.
Elle s'est récemment envenimée: la duchesse a accusé dans l'interview à Oprah le palais de Buckingham de "colporter des mensonges", tandis que le palais a annoncé une enquête inédite sur des accusations de harcèlement contre des assistants visant Meghan Markle, quand elle vivait encore au sein de la famille.
Quant à la reine Elizabeth II, elle doit aussi affronter la crise suscitée par cette interview-confession près d'un an après leur retrait effectif de la monarchie et l’exil en Californie du jeune couple.
Océane Guyon avec AFP